
Le FMI s'inquiète pour la France
Il n'y a pas besoin d'être prophète pour savoir que "ça va péter". Et les raisons nous les connaissons tous. La crise de légitimité que traverse le pouvoir politique depuis la trahison de Sarkozy qui s'est assis sans la moindre honte sur le referendum de mai 2005 qui refusait à 55%, l'adhésion de la France à la Constitution européenne, a été le premier élément déclencheur. La réintégration à l'OTAN par ce même Sarkozy a placé la France et les Français sur un strapontin au service des cartels "va-t-en guerres" sionistes et pro-sionistes, balayant l'héritage d'indépendance et de souveraineté légué par Charles de Gaulle, le dernier homme d'Etat à avoir gouverné le pays avec sagesse, responsabilité et amour.
Les coups tordus auxquels se sont livrés Sarkozy, Hollande et Macron, ont depuis longtemps fait déborder le vase de la patience des Français et ont provoqué une rupture totale entre le peuple et sa classe dirigeante puisqu'aujourd'hui 73% des citoyens déclarent ne plus faire confiance à la classe politique.
Dès les premiers mois du pouvoir macroniste en 2017, des manifestations annonçaient déjà le plus grand mouvement de contestation du XXIème siècle, se concrétisant par l'arrivée des Gilets Jaunes en novembre 2018. Deux années de contestation sociale auxquelles Macron a répondu par la violence extrême et par la répression démontrant son mépris pour le peuple, son manque de volonté politique à répondre à leurs légitimes revendications et sa détermination à servir les plus riches, quitte à faire exploser le pays.
A cette triste période est venu s'ajouter le Covid. Et ce virus a servi de couvercle sur une marmitte bouillante pour étouffer la contestation sociale, abolir les libertés et imposer aux Français la gestion la plus catastrophique que l'on pouvait imaginer puisque malgré le confinement, les couvre feux, les amendes à foison, l'interdiction de vivre, de voyager, de se déplacer, la France figure dans la liste des 5 pays qui obtiennent les pires résultats sur le plan sanitaire et sur le plan économique et social. Le Covid aura servi à démasquer l'imposture de cette classe politique vendue aux lobbys, la corruption abyssale de nos élites et du corps médical, et la malhonnêteté flagrante des médias.
Le rideau est tombé et désormais les Français ont compris qu'ils avaient raison de ne pas faire confiance à ces élites, à ces illuminés, à ces ambitieux sans foi ni loi, à ces menteurs, voleurs et profiteurs.
La fête est finie pour eux et ils le savent parfaitement puisque le gouvernement embauche à tour de bras dans les forces de la répression, et lui accorde des budgets phénoménaux car il sait que son dernier rempart pour se protéger du peuple, c'est la police. La police qui servira de bouc émissaire et qui sera envoyée au feu pour réprimer les citoyens.
Mais cela ne sera pas suffisant cette fois car la colère est si grande que même une armée ne pourra contenir l'explosion qui vient... Alors quand les banquiers s'inquiètent de l'éveil d'une nation, c'est qu'ils savent mieux que personne comment les peuples réagissent face à autant de mensonges et de trahisons. Et puis la question qui obsède beaucoup de gens c'est : Qui a fabriqué ce virus et pourquoi il a été utilisé comme une arme contre les peuples. Et au vu de ce qui se prépare, seul un nouveau Nuremberg apportera la réponse.
Lisez ce qu'annonce le Fond Monétaire International de la famille Rothschild...
Le FMI craint une explosion sociale après la crise. Deux études publiées par l’institution internationale signalent la possibilité d’une montée des tensions sur le long terme, une fois la crise sanitaire passée. Des hypothèse corroborées en France par certains épisodes historiques similaires et une indéniable fragilité sociale.
Anticiper l’avenir à la lumière du passé. C’est l’exercice auquel le FMI vient de se livrer. Et le résultat n’a rien de rassurant !
Paru le 3 mars sur le blog de l’organisation basée à Washington, un article intitulé "Les répercussions sociales des pandémies" signé par trois chercheurs alerte du risque de conflits liés à la fracture sociale. Laquelle est devenue un fossé durant la crise sanitaire. Et en envisageant le pire, il se pourrait bien que l’épidémie ne soit que l’élément déclencheur d’un phénomène plus catastrophique encore…
S’appuyant sur deux précédentes études du Fonds, cette tribune rappelle ainsi les points communs troublants de plusieurs soulèvements populaires survenus dans le passé. En particulier au cours de l’histoire de France. On retrouve dans le contexte actuel des éléments déclencheurs de ces révoltes.
"Avec le temps, le risque d'émeutes et de manifestations antigouvernementales augmente. En outre, l'étude met en évidence un risque accru de crise gouvernementale majeure – un événement qui menace de faire tomber le gouvernement et qui survient généralement dans les deux années suivant une grave épidémie", rappellent Sophia Chen, Nan Li et Philip Barrett
Une révolte populaire est d’ailleurs déjà redoutée par le gouvernement depuis plusieurs semaines après les récentes émeutes qui ont frappé les Pays-Bas ou le Liban. Ce serait, sans doute, une des raisons qui le dissuadent d’infliger un troisième confinement général.
Vers un éternel retour de l’histoire ?
Pourtant, si l’on en croit les rapports du FMI remis sur la table cette semaine, c’est plutôt l’après-Covid qui risque de dégénérer. En cause, les conséquences économiques et sociales liées au bond de la dette publique et au taux de chômage record.
Pour prendre l’exemple de la France, le taux de chômage a augmenté sur l’année de 8 % pour la seule catégorie A (recherche active), celui des moins de 25 de presque 9%, avec une hausse spectaculaire chez les jeunes à Paris: +31,8 % !
En France, Le Canard enchaîné relatait à ce propos, le 24 février, une prédiction de la secrétaire d’État Marlène Schiappa qui, selon l’hebdo satirique, aurait confié à certains ministres sa crainte que l’après-Covid puisse "tourner au cataclysme. La faute aux gens qui vont se lâcher."
Elle aurait, en outre, pronostiqué des "violences en tout genre", des "débordements permanents" ou encore une "prolifération des affrontements". Des propos qu’elle a ensuite publiquement démentis, mais qui n’ont rien d’irréaliste au vu des mises en garde du FMI.
1/ Je n’ai absolument jamais dit que le pays allait « sombrer dans le chaos » ou prédit un « cataclysme » contrairement à ce qui est affirmé de façon grotesque et sans aucune vérification par différents titres de presse et notamment ce matin @LCI
— ?? MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa) February 25, 2021
Depuis juillet 2020, un indicateur créé par le FMI permet de mesurer le niveau des perturbations internes d’un pays en se fondant sur la couverture médiatique des troubles sociaux.
Repris dans l’étude menée en février par Philip Barret et Sophia Chen – signataires du billet d’alerte du 3 mars –, cet indice a alors été croisé avec les épisodes d’épidémies connus dans 130 pays. Le résultat est sans appel : la corrélation entre les tensions et les désordres sociaux est établie. Ces résultats confirment même ceux d’une précédente étude.
S’appuyant sur des exemples historiques, les experts concluent même que "les pandémies conduisent à des risques significativement plus élevés de désordres sociaux après quatorze mois", de même que, au cœur de la crise sanitaire, un effet inverse s’observe en général, à savoir un renforcement de "la cohésion sociale et [de] la solidarité".
En France comme ailleurs, l’histoire permet de vérifier ces angoissantes conjectures. Deux études du FMI sur le sujet évoquent des précédents frappants. Ainsi l’épidémie de choléra qui a endeuillé l’Europe dès 1832, a tué 100.000 personnes en France et occasionné des manifestations d’ampleur.
"La progression de la maladie avive les tensions de classes, les riches reprochant aux pauvres de propager la maladie et les pauvres pensant qu’on les empoisonne. Bientôt, l’animosité et la colère se portent sur la figure du roi, déjà impopulaire."
Et de citer, même, Les Misérables de Victor Hugo qui ont immortalisé ces soulèvements.
Des réponses sociales
"À la lumière du passé, les troubles peuvent réapparaître à mesure que la pandémie s’atténue", expliquent également nos trois chercheurs. Ils mettent en avant un élément fondamental : "Une épidémie peut révéler ou aggraver des lignes de faille préexistantes dans la société."
Et la France est évidemment concernée de près, elle qui a traversé une crise sociale au long cours, celle des Gilets Jaunes, et un conflit social interminable lié à la réforme des retraites avant d’entrer de plain-pied dans la pandémie de Covid-19.
Le FMI va même jusqu’à mettre en garde certains dirigeants.
"Nos résultats impliquent un risque élevé de désordres sociaux après le Covid-19, sauf si des politiques courageuses et rapides sont mises en place pour protéger les plus vulnérables dans la société", avertit sans détour la première étude du FMI, parue en décembre.
À ce sujet, le site Mediapart estime que dans ses dernières recommandations publiées en janvier, le fonds visait explicitement la France. "La dette en France est élevée et nous pensons que le moment est venu d’élaborer et d’approuver un plan d’assainissement budgétaire crédible à moyen terme", pouvait-on lire dans le rapport annuel du FMI.
Des préconisations que le gouvernement semble avoir prises au sérieux. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, vient d’annoncer sa volonté de stabiliser les dépenses et de limiter la dette. Un premier pas vers l’apaisement des conflits ?
Petit à petit, les bonnes idées avancent. Merci qui ? pic.twitter.com/FU7RzVTNZb
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) March 3, 2021

Source : https://fr.sputniknews.com
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