
Par Gérard Luçon
Le professeur Mattias Desmet, expert en psychologie sur la tyrannie et le totalitarisme et sur la manière dont se forme l'hypnose de masse, nous explique (extraits):
"Les parents qui vaccinent leurs enfants avec tant d'empressement entrent dans la conscience de la foule que l'on appelle "formation de masse". Ce changement social a lieu lorsqu'il y a ou a eu une période de peur flottante, et c'est une étape sur la voie d'un État totalitaire.
Le totalitarisme commence toujours par une formation de masse au sein de la population. Ce n'est pas la même chose qu'une dictature. Dans une dictature, les gens obéissent par crainte fondamentale du dictateur au sommet, mais...
Le totalitarisme est le contraire. Les gens sont hypnotisés pour obéir "pour le bien du collectif".
Nous voyons cette formation de masse trouver une nouvelle solidarité, regroupée en un collectif. Elle leur apporte une solution à leur peur. Le récit et l'idéologie entourant la pandémie et les vaccins sont devenus "l'objet de la peur", où la peur libre a trouvé une cible, un objet.
Tout ce qu'ils savent, c'est que leur peur a disparu et qu'ils ont maintenant une réponse à leur peur, un nouveau sens et un nouveau sentiment de solidarité. Ils sont transformés lorsque cela se produit.
Ils ne sont plus rationnels et n'ont plus l'esprit critique qu'ils avaient autrefois. C'est pourquoi nous connaissons tous des amis qui étaient autrefois très intelligents et compatissants, mais qui sont devenus plus stupides et ne veulent plus écouter d'autres voix. Ils sont intolérants, voire méchants ou cruels.
Dans l'hypnose, la focalisation se réduit de plus en plus jusqu'à ce que la personne ne puisse plus voir, au-delà de sa vision très étroite, ce qui est réel.
La formation de masse nécessite 4 conditions à la fois pour avoir lieu.
C'est maintenant chose faite. La peur et l'isolement que beaucoup ont ressenti avant et pendant la pandémie ont trouvé leur parfait "objet de peur" et sont fermement ancrés dans le récit de la pandémie et des vaccins. Ils ne peuvent tolérer ou permettre la dissidence ou une voix différente et ne veulent même pas entendre de questionnement. Lorsqu'ils se réveilleront, leur "peur terrible" reviendra et les dirigeants des masses ne peuvent pas non plus permettre aux masses de se réveiller, car lorsque les masses se réveilleront et verront les vrais dommages et les pertes, elles seront en colère contre ceux qui ont causé les dommages et tueront probablement ces dirigeants. Dans l'histoire, les organisateurs d'une formation de masse sont toujours tués par ceux qui sont hypnotisés une fois et qui se réveillent et voient à nouveau le monde réel.
Il s'agit actuellement d'une crise sociale, et nous avons un rôle à jouer.
30% des gens sont profondément hypnotisés.
40 % ne le sont pas mais suivent les masses. Lorsque ces 40% cesseront d'entendre la dissidence de la raison, ils s'uniront aux hypnotisés pour les suivre.
Nous sommes la dernière partie: les 30% qui ne peuvent pas être hypnotisés ; nous devons continuer à nous exprimer.
Dans le totalitarisme, lorsque les dernières voix dissidentes abandonnent et se taisent, les masses commencent à commettre des atrocités au nom de la solidarité et du collectif.
Les 30% de non-hypnotisés sont un mélange de différents groupes et de diverses religions et politiques. Si nous ne trouvons pas de terrain d'entente pour nous unir, nous perdons et sans les voix courageuses et persistantes des dissidents, les 40 % se renversent.
Le professeur Desmet affirme que l'hypnose et la formation de masse qu'il observe actuellement sont un état qui mène clairement au totalitarisme.
Dans un État totalitaire, des personnes autrefois normales commettent des atrocités en croyant qu'elles sont justes.
Si nous unissons les 30% qui sont éveillés et que nous parlons ensemble chaque jour à tous ceux que nous rencontrons contre la formation des masses, contre le récit, les masses se dissoudront et la crise prendra fin.
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Cette analyse rejoint celle d’une psychologue roumaine quand à la définition des „groupes” (extrait d’un article paru le 30/09/2021):
Selon cette psychologue il y a plusieurs catégories de vaccinés (et de réfractaires) et chacune des catégories peut générer des différences majeures de comportement ainsi qu'avoir une incidence majeure au plan des séquelles et conséquences.
1er cas : celui qui croit "dur comme fer" en la médecine, l’évolutionniste, et qui est allé directement se faire vacciner en toute confiance.
2ème cas : celui qui, par intérêt « secondaire » a accepté le vaccin, pour partir en vacances, pour aller au restaurant, pour continuer à voir sa mère en EHPAD, donc sous une certaine forme de contrainte … sans être réellement convaincu de son efficacité, et qui accessoirement a aussi (et dans la foulée) fait vacciner son gosse pour qu’il continue dans son club sportif.
3ème cas : celui qui s’est fait vacciner pour ne pas perdre son emploi, donc sous une forme certaine de contrainte.
4ème cas : celui qui refuse le vaccin avec diverses argumentations, soit qu’il est réfractaire à toute injection (par exemple les témoins de Jehova encore que leur position a récemment évolué sur ce sujet, qu’ils considèrent désormais comme un choix personnel entre le Témoin et son Dieu), soit en corollaire qu’il n’a aucune confiance dans l’évolutionnisme et s’en remet à Dieu (créationnistes), soit qu’il a d’autres repères (médecine chinoise par exemple) ou un niveau de connaissance lui permettant de comprendre ce qui se passe avec des vaccins « génétiques » (protéine Spike, échanges ente les cellules humaines même sans contact direct entre elles, …).
Reprenons donc chaque catégorie :
1er cas : celui qui croit que la médecine est une science exacte, c’est probablement le plus problématique, pour diverses raisons :
- drapé dans sa certitude il va accumuler les rappels (la 1ère injection n’étant efficace qu’à 98%, il convient de combler les 2% manquants avec des appels périodiques), ne prendre aucune précaution vis-à-vis des autres, claironner que « lui l’a fait ». Ne lui viendra pas en tête qu’il est devenu contagieux, porteur, et il va pourvoir disséminer urbi et orbi, dans la joie et la bonne humeur, les variants que nos docteurs Folamour ont eu l’idée de baptiser de noms faisant référence à l’alphabet grec.
- à un moment il va découvrir qu’autour de lui ça « tombe comme à Gravelotte » y compris parmi ses égaux, les autres vaccinés, et commencer à douter, puis très certainement perdre de sa superbe et être rongé de l’intérieur. Dès lors on peut s’attendre à des réactions particulièrement violentes de celui qui a été berné, et ses proches et lui empoisonnés !
Ce petit exemple, tellement révélateur ... des vaccinés décédés suite au contact avec un vacciné https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/sarthe/le-mans/covid-19-en-sarthe-a-saint-calais-trois-morts-dans-un-cluster-a-l-ehpad-henri-dunant-2276140.html%20?
2ème cas : le volontaire par intérêt :
- lui ne s’est pas posé trop de questions sur ce qui se passe dans son pays, et encore moins au plan planétaire si ce n’est cette relation douteuse entre un pangolin et une chauve-souris, il regarde avec délectation les clowns de BFM WC débiter leurs âneries et leur propagande, il est de la société de consommation et s’y trouve « confortable » donc …
- ne faisant pas dans la fanfaronnade, il va prendre quelques précautions mais lui aussi va avoir du mal à intégrer qu’on lui a injecté une « substance venimeuse » et qu’il va la transmettre à ceux pour lesquels il s’est fait vacciner : ses parents, ses petits enfants, les collègues du club de sport (ou de fitness)…
- à un moment donné lui aussi va peut-être développer les symptômes dont la presse française ne nous parle pas, essoufflement, rougeurs, perte de la capacité de concentration ; à ce sujet on assiste depuis le début de cette année à une multiplication des accidents routiers « inexplicables » et dans lesquels, cette fois, ce n’est pas l’utilisation du téléphone intelligent qui en est la cause !
- comment va-t-il réagir, étant dans une contradiction majeure : avoir choisi sans discernement mais sans avoir été réellement obligé de choisir. Je ne suis pas certain que la fameuse résilience, que nos politiciens ont découverte l’an dernier pour nous faire accepter le masque, le confinement et les amendes, lui soit d’une grande utilité. Nous pouvons imaginer qu’il va développer, outre les effets directs liés à son « empoisonnement volontaire », un profond sentiment de culpabilité, de honte, avec les conséquences psychologiques afférentes (troubles somatiques, déclenchement de maladies dites „auto-immunes”) ; et aussi de possibles violences contre ceux qui ne l'auront pas suffisamment informé ou... contre ceux qui lui ont menti.
Ce lien aussi est intéressant, on y apprend que les vaccins sont dilués avant d’être injectés, et que ce travail est „manuel”, quelques gaines d’ellébore, une louche d’eau salée .. quel volume la louche?
3ème cas : le vacciné par contrainte :
C’est manifestement la situation la plus terrible et de loin la plus inhumaine, à savoir obliger quelqu’un à s’injecter un produit dont il sait qu’il est dangereux mais qu’en le refusant il perd son emploi avec les conséquences afférentes : perte du pouvoir d’achat, risque de ne plus pouvoir honorer les factures, les échéances des emprunts. Sous une formulation certainement excessive on peut dire qu’ils ont eu à choisir, suicide socioprofessionnel ou suicide vaccinal !
La veille de la mise en place du fameux chantage vaccin/travail, une amie est allée tenter de soutenir les manifestants, voici son récit : "Ayant eu vent d'une ultime action des réfractaires à J-1 du personnel de mon hôpital local par une aide-soignante vue à la manif de samedi je suis allée passer 2 heures devant l'hosto pour les soutenir un peu, une grande majorité est allée forcée, la boule au ventre et en pleurs se faire piquer pour ne pas perdre son job, seuls quelques purs et durs étaient présents, ils ne seront plus à leur poste demain, ils n'auront plus de salaire non plus, je suis plutôt une personne forte et optimiste, mais je dois avouer que de les voir j'avais vraiment les boules, j'ai tenu 2 heures puis j'ai fondu en larmes une fois dans ma bagnole, j'espère de tout coeur que cette saloperie de loi va s'arrêter avant de faire encore plus de dégâts...".
Que peut-il se passer dans la tête de ces vaccinés « de force », à chaque bouton ou rougeur qu’ils vont découvrir sur leur corps ? Minés de l’intérieur, s’attendant à développer ces réactions plus ou moins graves, cette situation risque de se concrétiser par des troubles somatiques s’ajoutant au développement de réactions physiologiques et physiques, voire d’aider à leur mise en évidence !
Et va t-il se soumettre à la nouvelle lubie des dirigeants en guerre contre le Peuple de France, un rappel tous les 4 mois?
4ème cas : le réfractaire :
Lui et quelles que soient ses motivations, risque de devenir le bouc émissaire, l’empêcheur de tuer en rond, et, reprenant ces vers de Georges Brassens :
je ne fais pourtant de tord à personne, en suivant mon ch’min de petit bonhomme,
mais les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux,
tout le monde me montre du doigt sauf les manchots, ça va de soi.
… en attendant qu’il soit vacciné de force
Tout l’monde viendra me voir pendu, sauf les aveugles, bien entendu !
Le plus intéressant, ou comique, dans cette affaire c’est qu’on va lui interdire tout accès à la vie sociale et économique, faisant ainsi qu’il aura moins de risque de se faire contaminer par les vaccinés, lesquels au fil du temps développent un syndrôme déficitaire … ce que ma psychologue a baptisé -le paradoxe du réfractaire- !
Aux dernières nouvelles émanant de Castex, celui qui accuse sa gamine de l’avoir contaminé, nous sommes 6 millions de réfractaires ... mais en croisant les chiffres nous serions autour de 20 millions, ce qui rejoint l’estimation du professeur Desmet!
Et cette petite vidéo avec Isabelle Adjani parlant des 11 vaccins adoptés sous le tandem E.Philippe - A. Buzyn https://vk.com/video614527233_456239095
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